Auteur/autrice : French The Beatmaker

Troisième volet de la série. Dans la partie 1, on a posé les bases (unboxing, capacités, plug-ins). Dans la partie 2, on a découvert les pads MPCe. Ici, on cartographie les boutons de commande de la Live 3 et on voit comment ils fluidifient l’arrangement.

Ce qui change par rapport à la Live 2

Sur la Live 3, plusieurs boutons dédiés apparaissent et recentrent le workflow autour de MPC3 et de l’Arrangeur :

• Sounds : accès direct aux sons (plug-ins, expansions, keygroups, Drum Programs, CV, Audio Tracks).
• Edit : ouvre la page d’édition selon le type de piste (plug-in, drum kit, audio…).
• Arranger : entrée instantanée dans la vue Arrangeur (timeline façon DAW).
• Loop On : active/désactive la boucle de la séquence en cours.
• Locate : vraie nouveauté d’usage sur ce format de MPC — navigation par pas/mesure et gestion accélérée des locators.
• Mixer : accès direct au mixeur (non nouveau, mais centralisé).
• Transport : Rec, Overdub, Stop, Play, Play Start + +/-.

Idée clé : la Live 3 rend tactiles des gestes qui, auparavant, demandaient de passer par l’écran. Résultat, on construit plus vite… et on arrange plus tôt.

La zone Locate : la productivité dans l’Arrangeur

C’est le bloc qui change tout si tu veux travailler “façon DAW” :

• Event : navigation par pas (selon ton Timing Correct).
• Start/End : aller au début/à la fin de la boucle courante, ou avancer mesure par mesure.
• Créer un locator : maintiens Locate puis presse l’un des boutons orange pour mémoriser un repère sur la timeline.
• Rappeler un locator : maintiens Locate + chiffre du repère. La tête de lecture se place dessus et définit le début de la boucle.
• Boucler une section : sélectionne deux locators → ta boucle courante va de l’un à l’autre.

Pourquoi c’est décisif : tu poses très vite tes repères d’intro, couplet, pré-refrain, refrain…, tu navigues, tu corriges et tu réécoutes sans casser le flow.

Les autres commandes qui accélèrent

• Mic On : active/désactive l’entrée micro (pratique pour une prise à la volée).
• Rec To Arrange : bascule vers l’Arrangeur pour “imprimer” une performance (ex. depuis Clip/Matrix) dans la timeline.
• Shift + Sounds : Favoris.
• Shift + Edit : Event List (liste d’événements).
• Shift + Arranger : Matrix (workflow type Ableton, hérité de la Force — inclus via MPC Pro Pack, préinstallé/activé sur Live 3).
• Shift + Mixer : vue des entrées avec options phantom et Link (1+2).

Les boutons au-dessus de l’écran

• Copy, Notes, Timing Correct, Undo, Load, Save, Sample Edit, Track Mute.
• Avec Shift : Delete, Next Seq, On/Off du Timing Correct, Redo, Project, Save As, Sampler, …
• C’est la ceinture outils “classique MPC” mais mieux intégrée à la logique Arrangement.

Le bloc au-dessus des pads

• Note Repeat, Full Level, 16 Levels, Erase + banques A–D (et jusqu’à H en action alternative).
• Actions alternatives utiles :
  • Note Repeat → Latch
  • Full Level → User Levels
  • 16 Levels → Chords
  • Erase → Clear Track

Astuce : Shift + 16 Levels peut convertir rapidement un sample de pad en keygroup. Très pratique pour jouer une ligne mélodique à partir d’un one-shot.

Le Step Sequencer physique : bien plus qu’un stepper

Le bouton Set te permet de choisir le mode des 16 touches au-dessus de l’écran. Parmi les plus utiles :

• Drum Seq et Note Seq : écriture rythmique/mélodique pas à pas.
• Step Edit et Step Automation : retouches fines d’événements et d’automations.
• Clip Launch : déclenchement de clips (workflow performance).
• Track Select / Track Arm / Track Mute / Pad Mute : gestion de session ultra rapide.
• Next Seq : enchaînement de séquences à la volée.

L’idée n’est pas de tout retenir d’un coup. Commence par Drum Seq pour programmer tes rythmes, puis ajoute Step Automation pour la vie et le mouvement.

Mini méthode pour structurer ton morceau plus vite

1. Marque tes sections avec Locate : place des locators sur 1 | 9 | 17 | 25, etc.
2. Active Loop On et travaille une zone à la fois (ex. 1→9 = intro).
3. Compose au Step Sequencer (Drum Seq puis Note Seq) et affine avec Step Edit/Automation.
4. Basculer en Matrix (Shift+Arranger) si tu veux tester une performance en clips.
5. Rec To Arrange pour capturer la performance dans la timeline.
6. Arranger pour finaliser volumes, automations et transitions.

Raccourcis à mémoriser

• Maintain Locate + chiffre : poser/rappeler un locator.
• Shift + Arranger : Matrix (idéal pour “jouer” la structure).
• Shift + Mixer : entrées (phantom, link).
• Shift + 16 Levels : conversion rapide vers keygroup.
• Undo / Redo : ose expérimenter, tu peux toujours revenir en arrière.

À retenir

• La Live 3 met l’Arrangeur au centre et physique des gestes essentiels (locators, loop, accès Edit/Sounds/Mixer).
• Locate est le meilleur ami de la timeline : repères clairs, navigation rapide, bouclage précis.
• Le Step Sequencer physique n’est pas qu’un stepper : il pilote une constellation de modes qui couvrent de l’édition à la performance.
• En tandem Matrix → Rec To Arrange, tu passes du jeu live à la version fixée dans la timeline, sans friction.

Article de la série vidéo consacrée à la MPC Live 3. Dans la partie 1, on a couvert l’unboxing, la configuration de base et les capacités en pistes. Ici, on explore les nouveaux pads MPCe et ce qu’ils changent concrètement dans le jeu et la programmation.

Les pads MPCe, qu’est-ce qui change ?

Chaque pad est désormais “quadrillé” en quatre zones (les quatre angles) et capte trois dimensions : X (gauche↔droite), Y (haut↔bas) et pression. La MPC peut donc réagir différemment selon où tu appuies et comment tu glisses, ce qui ouvre la porte à des articulations, des fondus entre couches et des modulations en temps réel… sans quitter les pads.

À noter : après mise à jour, le kit par défaut du projet devient “Trap Kit MPCe Default FM” pour t’emmener directement sur un jeu de pads préparé pour ces fonctions.

Trois cas pratiques pour comprendre

1) Le pad 808 “glide” (X → hauteur)

Sur un pad de basse 808, faire glisser le doigt horizontalement modifie le tuning du sample. Le Mode Matrix mappe la source Pad X vers la destination Layer 1 Tune (de 0 à 48 “pas”, soit 4 octaves), d’où cet effet de glide très utile pour des lignes trap rapides. Point de vigilance : la précision mélodique reste limitée si tu vises des notes exactes au doigt.

Astuce : pour gagner en justesse, réduis la plage de modulation (min/max) dans le Mode Matrix afin de restreindre l’amplitude et viser une gamme plus courte.

2) La caisse claire et les Articulations (angles → jeu rythmique)

Certains pads utilisent la page Articulation : chaque angle déclenche une variation de jeu (ex. roll 1/16, buzz roll chromatique, 1/16 pointé…). C’est immédiat pour humaniser sans automation : même sample, mais phrasing différent selon la zone frappée.

Où regarder : Pad > Edit > Effects > Articulation, puis teste chaque angle pour entendre la nuance associée.

3) Les Layers et le Crossfade (X/Y → fondu entre couches)

Autre configuration fréquente : un même pad contient 4 layers du même sample accordés différemment. En Global, le paramètre Layer Play = Crossfade répartit les angles sur les layers 1 à 4. Dans le Mode Matrix, Pad X pilote Crossfade X (fondu entre L1↔L2) et Pad Y pilote Crossfade Y (fondu entre L1↔L3). Résultat : tu sculptes la couleur sonore en glissant sur le pad, avec des transitions très naturelles.

Variante “centre / pourtour” : une source spéciale Pad X·Y Distance peut activer Layer 1 quand tu tapes au centre, et inverser la logique pour jouer Layer 2 dès que tu t’éloignes vers le pourtour. Parfait pour imiter, par exemple, un rimshot sur les bords et un coup au centre.

Reproduire ces idées chez toi (chemin rapide)

1. Identifier la zone : Pad > Edit.
2. Articulation : Effects > Articulation puis affecte un style par angle.
3. Layers : Samples > Layers ajoute 2 à 4 couches (même sample, accords différents).
4. Global : règle Layer Play sur Crossfade (ou Velocity selon le rendu voulu).
5. Mode Matrix :
   • Mappe Pad X → Tune (glide) ou Pad X/Y → Crossfade X/Y (fondu).
   • Option avancée : Pad X·Y Distance → Layer Level (centre/pourtour).

Bonnes pratiques et limites à connaître

• Précision des hauteurs : réduit la plage de modulation ou combine avec un Scale dans ton workflow pour viser les bonnes notes.
• Lisibilité des kits : nomme clairement tes pads (“808 Glide X”, “Snare Artic 1/16”, etc.) pour t’y retrouver en live.
• Progressivité : commence avec 1–2 mappings par pad, puis complexifie. Trop de modulations tuent la musicalité.

Et la suite de la série ?

On continuera sur les boutons de commande et l’intégration des pads MPCe dans un arrangement fluide. L’idée reste la même que dans la partie 1 : rester concret, exploiter les nouveautés sans perdre en simplicité, et construire des kits jouables immédiatement.

À retenir

• Les pads MPCe ajoutent des dimensions de jeu (X, Y, pression) exploitables sans quitter la surface de pads.
• Articulations par angle = variations de jeu instantanées. Crossfade X/Y = fondu entre layers pour “morpher” un son.
• Le Mode Matrix est le centre névralgique : c’est lui qui relie position/pression aux paramètres sonores.

Pourquoi cette machine attire autant l’attention

La Live 3 arrive directement sous MPC3 OS, sans mise à jour préalable, avec une interface plus moderne et un socle matériel pensé pour des projets plus ambitieux. Dès le démarrage, on retrouve l’écran d’accueil et… un ventilateur audible, détail nouveau sur cette génération, signe d’un véritable bond matériel sous le capot.

Ce qui change concrètement

• MPC3 déjà installé sur l’unité testée.
• Évolution matérielle et capacité de projet : jusqu’à 32 pistes plug-ins et 16 pistes audio dans un même projet, avec une mémoire interne de 128 Go (et 8 Go de RAM mentionnés pendant la découverte). Dans la vidéo, je pousse la machine à 32 plug-ins + 16 pistes audio (49 pistes au total avec la piste par défaut) pour éprouver le workflow.
• Nouveaux pads “MPCE” (logo en forme de cube dans l’OS) et QR code d’accès direct à la documentation après mise à jour.

Unboxing & premières impressions

Au déballage, on retrouve le bloc secteur 19 V, la connectique et un premier ressenti : plus fine que la Live II et légèrement plus grande, écran très lisible, boutons agréables. Une fois branchée, le ventilateur se fait entendre dès le boot.

Démarrer un projet et mesurer la puissance

Depuis l’écran d’accueil, je crée un New Project et j’instancie 32 pistes plug-ins d’un coup, puis 15 pistes audio supplémentaires (avec la piste par défaut, on atteint 49 pistes). L’OS liste Fabric, Fabric XL, Fabric Piano, Fabric Electric Piano – de quoi composer immédiatement sans installer quoi que ce soit en plus.

Ce test “extrême” n’est pas une recommandation, c’est une démonstration de capacité pour comprendre l’ampleur de cette génération.

Plug-ins : ce qui est inclus, ce qui requiert une licence

• Fabric / Fabric XL s’instancient nativement sur la Live 3, sans étape supplémentaire.
• Certains Play Series (ex. Duet, Luxe) ou tiers affichés dans la liste demandent de se connecter à son compte inMusic pour valider la licence, faute de quoi ils ne s’ouvrent pas.

Installer ses plug-ins au bon endroit (et gagner de la place)

Deux points clés pour éviter de saturer la mémoire interne :

1. Choisir le support d’installation dans Menu > Preferences > Activations puis Change pour sélectionner soit l’interne, soit votre SSD.
2. Utiliser un SSD interne/USB pour vos expansions et plug-ins. Dans la vidéo, je récupère le SSD de ma Live 2 pour le remettre dans la Live 3, sans reformater afin de garder mes banques.

Mon avis d’usage : même si 128 Go conviennent pour débuter, les expansions “Live 3” risquent d’être plus lourdes que les banques historiques. Anticiper l’externe reste plus confortable.

Mettre l’OS à niveau avant d’aller plus loin

Si votre machine n’est pas à jour, faites la mise à jour (MPC 3.x). Au redémarrage, on voit le logo MPC3 OS et on accède au QR code vers la doc en un geste. C’est un point simple mais déterminant pour profiter des nouveautés.

Ce que montre la Partie 1 (et ce qui arrive ensuite)

Dans cette première vidéo de la série Live 3, je pose les bases : unboxing, prise en main, capacité en pistes, état des plug-ins et gestion du stockage. J’ai prévu une playlist dédiée où la suite abordera : commandes, pads MPCE, Step Sequencer, et les nouveautés pertinentes pour la composition et l’arrangement.

À retenir avant de composer

• Puissance/projets : 32 plug-ins + 16 pistes audio, c’est un vrai palier.
• Plug-ins : Fabric/XL prêts à l’emploi, d’autres nécessitent l’activation via inMusic.
• Stockage : pensez SSD pour expansions et plug-ins, réglez l’emplacement dans Preferences > Activations.
• Mise à jour : assurez-vous d’être bien sur MPC3 OS pour profiter du QR code et des fonctionnalités récentes.

Pour aller plus loin

Je propose une formation conçue pour débuter rapidement et composer vos trois premières séquences sur MPC. Elle a déjà accompagné près de 100 élèves, avec un format court, progressif et orienté pratique. Les informations et liens sont sous la vidéo source et sur mon site.

Introduction

La mise à jour MPC OS 3.6 apporte de vrais gains pour toutes les MPC compatibles, et un palier optionnel avec le MPC Pack Pro (Force Pack 😎 ) pour aller plus loin en performance et en arrangement. Cet article récapitule l’essentiel, avec des cas d’usage concrets et un plan d’action court pour passer de la lecture à la pratique.

CE QUE VOUS OBTENEZ GRATUITEMENT AVEC MPC 3.6

Articulations batterie

Vous pouvez jouer et enregistrer des flams, rolls et ghost notes par pad. Le mode 16 Levels Articulations permet d’explorer rapidement des variations réalistes sans éditer des dizaines d’événements.
Cas d’usage rapide

• Snare plus humaine en fin de mesure avec un court flam.
• Hi-hats trap propres grâce aux rolls enregistrés au doigt.

Mod Matrix côté Drum Tracks

Jusqu’à 32 slots de modulation directement sur vos kits, avec de nouvelles sources utiles comme LFO2, Ramps, Drift global et par voix, Note Counter. Avant 3.6, ce niveau de modulation était surtout réservé aux Keygroups.
Cas d’usage rapide

• Hats qui respirent avec un LFO lent sur le cutoff et Note Counter pour alterner le panoramique gauche/droite.
• Kick plus vivant avec un Drift très léger et une micro rampe sur le pitch au démarrage.

Layer Play intelligent

Deux nouveautés complémentaires. Le Crossfade mélange 2 à 4 couches, jusqu’à 8 selon le mode, sur deux axes X et Y. L’Offset déplace une petite fenêtre Start End Loop à l’intérieur d’un même sample, ce qui permet de varier un loop sans le découper.
Cas d’usage rapide

• Snare à 4 couches de caractère différent, morphing X/Y pour passer d’une attaque sèche à une texture plus ample.
• Loop percussive qui se renouvelle grâce à l’Offset modulé par un LFO pour balayer de micro fragments à chaque frappe.

Automation verrouillée au pas

Dans le Step Sequencer, l’option Locked to Step Length confine l’automation au step sélectionné. On obtient des mouvements nets et reproductibles.
Cas d’usage rapide

• Mini ouverture de filtre sur un unique pas de hi-hat pour créer un accent sans déborder.
• Coup de reverb très court sur la dernière croche avant un drop.

MIDI et timing plus souples

Enregistrement par canal MIDI événement par événement. Sortie de notes MIDI par pad sur une Drum Track. Choix entre sortie ANY pour rejouer chaque événement sur son canal d’origine ou canal forcé sur une piste MIDI. Possibilité de définir une signature rythmique de projet différente du classique 4/4 sans casser vos séquences ni vos clips.
Cas d’usage rapide

• Piloter un expandeur multitimbral sur une seule piste en Input All et Output ANY.
• Créer des pads MIDI only pour déclencher un appareil externe sans jouer de sample local.
• Basculer un projet en 7/8 pour explorer d’autres grooves.

Confort et petites améliorations

• Tuning global par pad pour accorder toutes les couches d’un coup.
• Pad Copy qui recopie aussi la couleur.
• Menus hiérarchiques dans la Mod Matrix pour retrouver plus vite sources et cibles.
• Touch Strip avec mode Crossfader et Off.
• Auto Select Track par séquence pour des enchaînements plus fluides.

Note matériel

La MPC Live 3 ajoute des pads MPCe sensibles en X, Y et pression, un step sequencer matériel à 16 boutons et plus d’entrées/sorties USB audio. Ces différences relèvent du matériel et de l’OS associé. Les fonctions de base 3.6 ci-dessus restent communes aux modèles compatibles.

CE QUE LE MPC Pack Pro AJOUTE SI VOUS L’ACTIVEZ

Clips façon Force

Accès à une matrice de clips, à l’édition de clips et aux Follow Actions, avec import de projets Ableton Live. Idéal pour structurer un set en scènes, réarranger à la volée et tester des variantes rythmiques sans dupliquer des séquences entières.
Cas d’usage rapide

• Couplet, pré-refrain, refrain en trois lignes de clips, déclenchement synchronisé et Follow Actions pour varier automatiquement la fin de phrase.

Q Links avancés avec Envelope Follower et LFO

Une macro peut suivre un signal audio comme source de contrôle ou être animée par un LFO intégré. On obtient des morphings musicaux et des effets réactifs au jeu.
Cas d’usage rapide

• Sidechain musical sans compresseur, la piste kick pilote l’Envelope Follower qui baisse légèrement le niveau de la basse à chaque impact.
• Morphing synchronisé pendant un build-up grâce à un LFO qui ouvre le cutoff tout en réduisant le feedback d’un delay.

Super Warp

Algorithme de time stretch et pitch shift plus propre et plus musical, réglable par défaut dans les préférences, puis au cas par cas par clip ou piste.
Cas d’usage rapide

• Caler une voix parlée ou un chant sur un tempo variable avec moins d’artefacts.

Plugins AIR inclus

Fabric Select pour couvrir rapidement basses, keys et leads. Visual EQ4 pour sculpter sans charger une chaîne. Reverb Pro pour une profondeur moderne et maîtrisée, à mettre de préférence sur un auxiliaire partagé afin d’économiser le processeur. Utility pour gérer gain, mono et image stéréo avec un outil léger.
Cas d’usage rapide

• Un seul bus Reverb Pro pour donner la même signature d’espace à plusieurs pistes, plus propre et plus économe qu’une réverbe par piste.

ACTIVER ET CONFIGURER PROPREMENT

• Mettre à jour la machine en 3.6 via l’Online Updater ou la page de téléchargement du modèle, puis sauvegarder les projets avant toute opération.
• Si vous êtes sur Live 3, le MPC Pack Pro est inclus. Connecter la machine à votre compte inMusic dans Preferences Activations, puis télécharger.
• Sur les modèles de génération précédente, acheter et activer le pack, puis basculer Use Clip Workflow sur ON dans Project Defaults.
• Dans Preferences Audio/Export, définir Super comme algorithme de warp par défaut si vous travaillez des clips audio régulièrement.

PLAN D’ACTION EN DIX MINUTES

• Mettre à jour en 3.6 et ouvrir un projet test.
• Articulations sur snare et hats pour vérifier la dynamique.
• Mod Matrix Drum : LFO lent sur le cutoff des hats et Note Counter pour alterner le panoramique un coup sur deux.
• Layer Play : Crossfade X entre deux couches de snare et, sur une loop percussive, moduler l’Offset avec un LFO.
• Step Sequencer : verrouiller l’automation au pas et placer un micro mouvement de filtre sur deux pas clés.
• Si le pack est actif : Use Clip Workflow en ON, créer trois clips batterie/basse/lead et une Follow Action, Envelope Follower kick vers basse pour un ducking musical, mettre Super en défaut, installer Reverb Pro sur un bus auxiliaire et envoyer deux ou trois pistes pour comparer.

CONCLUSION

La base 3.6 rehausse clairement la musicalité des drums, aligne les possibilités de modulation des Drum Tracks sur celles des Keygroups et simplifie le MIDI. Le MPC Pack Pro ouvre un véritable workflow à clips, des macros audio réactives et un warp plus propre, ce qui transforme la manière d’arranger et de performer. Commencez par les articulations et Layer Play pour sentir immédiatement la différence, puis testez les clips et l’Envelope Follower si vous voulez accélérer vos sets et vos transitions.

Si tu utilises une Akai Force ou une MPC en mode standalone, tu sais à quel point la gestion des effets peut transformer une performance live. Dans cette vidéo, je te montre comment recréer un effet culte : le DJ FX Looper du SP-404, rendu célèbre par Roland et adoré des beatmakers et live performers.

Pourquoi cet effet ?

Le DJ FX Looper est un effet signature du SP 404 qui permet de découper, répéter, ralentir et tordre le son en temps réel. Il est souvent utilisé en fin de phrase, en transition ou en effet de rupture pendant un live. Reproduire cet effet sur la Force ou une MPC permet de garder cette expressivité, tout en restant 100% autonome, sans ordinateur.

Comment c’est fait dans la vidéo ?

Dans ce tuto pas à pas, je t’explique comment :

• Router ta piste principale (drums, sample, etc.) vers un submix
• Charger deux effets : Pitch Shifter et Touch FX (en mode Beat Repeat)
• Mapper les paramètres essentiels aux Q-Links : Shift, Touch Enable et Delay Time
• Utiliser ces potards en live pour jouer l’effet comme un instrument

Tu obtiens ainsi un contrôle total sur le pitch, le déclenchement et le rythme de répétition, pour des effets glitchés ou slow-down très efficaces en live.

Submix ou Return : pourquoi c’est important ?

L’effet est placé sur une piste Submix, ce qui permet d’appliquer le traitement en série, en remplaçant complètement la sortie audio. C’est très différent d’un Return, qui applique les effets en parallèle. Si tu veux creuser la différence, j’ai répondu à cette question dans cet échange sur le forum French The Lab.

Gagne du temps avec un template

Tu peux aussi enregistrer un projet template avec les effets et le mapping Q-Link déjà en place. Il suffira de l’ouvrir et de faire “Save As” pour l’utiliser comme base à chaque nouvelle création.

Regarde la vidéo ici

(ajoute-la à tes favoris ou dans une playlist si tu veux y revenir facilement)

Et toi ?

Tu as testé cet effet sur ta machine ? Tu veux qu’on reproduise d’autres effets du SP 404, ou explorer d’autres setups live sur Force ou MPC ? Viens en discuter dans la communauté French The Lab.

Pourquoi cette formation MPC 3 est idéale pour les débutants

Recevoir une MPC, c’est excitant… mais aussi intimidant quand on débute. Entre l’écran tactile, les pistes, les plugins et les fonctions cachées, on peut vite se sentir perdu.

C’est pour cette raison que j’ai créé une formation MPC 3 spécialement pensée pour les débutants, pour vous accompagner pas à pas dans la création de votre première séquence, sans jargon inutile ni technique compliquée.

Une formation rapide, claire… mais complète

“Compose tes 3 premières séquences sur MPC 3” est une formation en ligne avec plus d’ 1h30 de contenu, conçue pour :

• vous aider à prendre en main votre MPC (Key 37, Live, One, X…)
• apprendre à utiliser les plugins intégrés
• jouer vos premiers accords, les enregistrer proprement
• poser une rythmique efficace avec le step sequencer ou en live
• et surtout… terminer une vraie boucle complète, prêt à aller plus loin.

Un vrai accompagnement : vous n’êtes pas seul

Ce qui change tout ? Vous n’êtes pas livré à vous-même.

🧠 En plus des vidéos claires, vous aurez accès à :

• une plateforme dédiée avec suivi de progression, quiz, ressources
• un espace privé sur French The Lab, la communauté francophone dédiée à la MPC et à l’Akai Force
• un accompagnement direct de ma part, pour répondre à vos questions et vous aider à progresser

À qui s’adresse cette formation ?

• Aux débutants qui viennent de recevoir leur première MPC
• À ceux qui veulent composer leur première séquence sans théorie musicale
• À celles et ceux qui préfèrent apprendre avec un cadre et un accompagnement

Si vous êtes dans ce cas, cette formation est pour vous.

Conclusion

Recevoir une MPC, c’est déjà énorme. Mais la vraie satisfaction, c’est de créer votre propre musique avec. Cette formation est le point de départ idéal, pensé pour déclencher l’action, rapidement, simplement… et accompagné.

À très bientôt sur French The Beatmaker,

Depuis des mois, la communauté MPC attendait ce moment : la sortie de la version desktop du MPC Software 3, en bêta publique. C’est désormais chose faite.
Et même si cette première version n’est pas encore complète, elle marque un vrai tournant dans l’écosystème Akai.

Dans cet article, je te propose un décryptage complet de cette mise à jour, ce qu’elle apporte concrètement, ce qui manque encore, et surtout, comment en tirer parti dès maintenant.

Un retour attendu : la version desktop enfin alignée avec MPC OS 3

Depuis l’arrivée du MPC 3 OS sur les machines standalone (MPC Key 61, MPC X SE, etc.), une vraie coupure s’est installée entre l’environnement matériel et le logiciel desktop.
Les utilisateurs ne pouvaient plus ouvrir leurs projets MPC 3 sur ordinateur, et les possesseurs de MPC Studio étaient complètement exclus du nouveau workflow.

Avec MPC Software 3.5 en version desktop, cette fracture est enfin réparée.

Tu peux désormais retrouver l’ensemble des nouveautés de MPC 3 directement sur ton ordinateur.

Quelles nouveautés dans MPC Software 3 ?

Même si l’interface peut paraître familière au premier abord, de nombreuses évolutions se cachent sous le capot. Voici les principaux apports :

Un moteur repensé

• Modèle de piste 1:1 : chaque piste contient directement un programme. Fini les liaisons manuelles entre pistes et programmes.
• Disk Streaming : les samples audio peuvent désormais être lus directement depuis le disque. Un vrai plus pour les projets lourds.
• Moteur Advanced Keygroup : nouveau moteur de synthèse multi-sample avec 32 destinations de modulation, enveloppes complexes, LFOs, portamento, unison…

Nouveautés côté production

• Automation du tempo (par séquence)
• Sampling direct dans un pad (Drum Tracks)
• Support natif des VST3 : enfin possible d’utiliser tes plugins favoris dans MPC Software
• Activation simplifiée via le système inMusic (plus besoin de clé iLok)

Ce qui manque encore (et qu’il faut savoir avant de l’adopter)

Cette version reste une bêta, ce qui implique quelques limitations importantes à connaître :

• Pas de vue Arrangeur (timeline visuelle de type DAW)
• Pas de gestion des signatures rythmiques personnalisées (3/4, 6/8…)
• Pas encore utilisable comme plugin VST/AU dans un DAW
• Des bugs sont encore présents : mieux vaut éviter de migrer immédiatement tous tes projets professionnels

En clair, MPC Software 3 desktop est une base prometteuse, mais encore en phase de test.

Pourquoi c’est une bonne nouvelle malgré tout

Même incomplète, cette version remet les choses dans le bon ordre : le software desktop et les MPC standalone fonctionnent à nouveau selon la même logique.
C’est une étape indispensable pour unifier l’expérience MPC, et laisser entrevoir une vraie compatibilité future avec l’Akai Force ou une version plugin.

Tu veux apprendre à produire avec MPC 3 simplement ?

Inscris-toi à la liste d’attente mon cours en ligne pour t’aider à créer ta première boucle sur MPC 3, même si tu débutes complètement.

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Elle est idéale pour :

• Comprendre les bases du workflow MPC 3
• Composer tes premières boucles sans théorie musicale
• Gagner du temps et éviter les pièges des débutants

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Tu utilises une MPC ou une Akai Force ? Tu veux poser tes questions, trouver des tutos ou partager tes créations ?

👉 Rejoins French The Lab, la communauté francophone dédiée aux utilisateurs MPC et Force

Tu y trouveras :

• Des discussions thématiques
• Des entraides techniques
• Des news sur les mises à jour et plugins
• Des ressources exclusives pour progresser

En résumé

MPC Software 3 desktop marque le retour d’un workflow fluide entre ton ordi et ta MPC. Ce n’est pas encore parfait, mais c’est une étape majeure pour l’écosystème Akai.
Et c’est aussi une belle opportunité pour toi de te mettre à niveau, apprendre à composer efficacement, et rejoindre une communauté active.

À très vite sur French The Beatmaker.

La version 3.5.0 de l’Akai Force est désormais disponible en bêta publique, et autant dire les choses clairement : c’est bien plus qu’une simple mise à jour.
Avec cette version, Akai redéfinit les capacités de la Force et aligne son développement sur celui de la MPC. Voici un tour complet des nouveautés majeures apportées par la 3.5, et pourquoi cette mise à jour est un vrai tournant pour les utilisateurs.

Une mise à jour alignée sur la MPC : vers un workflow unifié

Akai adopte une nouvelle stratégie : publier des mises à jour simultanées pour la MPC et la Force. Résultat :

• La Force récupère des fonctionnalités jusqu’ici exclusives à la MPC
• Les workflows se rapprochent, avec l’apparition du Main Mode, du Next Sequence Mode et du Song Mode
• Les utilisateurs MPC retrouveront leurs repères immédiatement sur Force

Le Main Mode arrive sur Force : un vrai changement de paradigme

C’est sans doute le changement le plus radical : la Force intègre désormais un Main Mode identique à celui de la MPC.
Tu peux ainsi :

• Créer et manipuler tes séquences comme sur une MPC
• Utiliser Next Sequence pour les transitions en live
• Organiser ton morceau avec le Song Mode

Ce trio transforme la Force en une station de production hybride, à mi-chemin entre Live et MPC.

Les plugins Native Instruments arrivent sur Force

Autre annonce de taille : les plugins Native Instruments en version MPC Edition sont désormais compatibles avec la Force.
Voici les cinq instruments déjà disponibles :

• Sway
• Analog Dreams
• Nacht
• Homage
• Cloud Supply

Tu peux les activer directement depuis le menu Préférences > Activation. Certains peuvent être testés en version démo. Pense à réinitialiser les préférences si un plugin ne s’affiche pas.

Nouveaux plugins AIR (effets et instruments)

La mise à jour Akai Force 3.5 intègre également de nouveaux plugins AIR Music Technology, qu’on avait déjà croisés sur MPC :

Effets AIR :

• AIR Mutiband FilterBank
• AIR Soft Clipper
• AIR Jura Chorus
• Flex Beat Player
• AIR Expander

Instruments AIR :

• Subfactory
• Ring The Alarm

MPC Stem Separation intégré à la Force

La séparation de stems audio (voix, batterie, basse, etc.) est désormais possible en un clic grâce à l’intégration du plugin MPC Stem Separation.
Parfait pour :

• Créer des acapellas
• Isoler des éléments dans des morceaux
• Travailler des remixes ou DJ edits directement depuis la Force

Automatisation du tempo et Follow Actions

Tu peux maintenant :

• Automatiser le BPM dans un clip ou un arrangement
• Utiliser la fonction Follow Action pour enchaîner automatiquement les scènes selon 10 logiques différentes

Un vrai plus pour les performances live ou les compositions modulaires.

Moteur de synthèse avancé pour Keygroups

Cette mise à jour introduit un nouveau moteur de synthèse avancé pour les tracks Keygroup :

• Filtres double étage (série/parallèle)
• Modulation 32 cellules
• Harmoniseur, portamento
• Mono retrig, pitch drift et glide naturel

Idéal pour créer des sons riches, expressifs ou simuler des instruments analogiques.

Sampling et édition audio améliorés

Plusieurs améliorations très concrètes :

• Export de chaque pad de drum en stem séparé (idéal pour le mix)
• Export de slices audio calés sur le tempo sans time-stretch
• Enregistrement direct vers la sélection active (clip ou arrangement)

Tu gagnes en précision et en rapidité dans ton workflow.

Performances et rapidité

Le chargement des samples est désormais asynchrone :

• Les programmes et projets s’ouvrent beaucoup plus rapidement
• Plus besoin d’attendre le chargement de tous les samples avant de jouer

Un vrai confort si tu travailles avec des bibliothèques lourdes ou complexes.

Une version bêta, mais déjà très stable

La version 3.5.0 est disponible en bêta publique. Elle fonctionne bien mais peut encore présenter quelques bugs selon les cas.

En résumé

La mise à jour 3.5 transforme l’Akai Force en une machine plus puissante, plus ouverte, plus fluide.
Entre l’arrivée du Main Mode, des plugins Native Instruments, de la séparation de stems, et un workflow désormais unifié avec la MPC, c’est probablement l’une des mises à jour les plus marquantes depuis le lancement de la Force.

À voir aussi : ma vidéo complète sur la 3.5

Je te montre toutes ces nouveautés en action dans ma vidéo :

Depuis le début, la Force tournait déjà sur MPC 3. Et pourtant, c’est seulement en janvier 2025 que toutes les MPC (Live, X, One, Key…) ont basculé officiellement sur ce nouvel OS. Ce changement, bien plus qu’une simple mise à jour, marque un vrai tournant pour l’écosystème Akai.

Pourquoi ce changement est majeur ?

Avec le passage à MPC 3, Akai unifie enfin l’architecture logicielle de la gamme MPC et de la Force. Résultat ? Une compatibilité croisée des projets entre machines – ou presque.

Je t’explique.

Aujourd’hui, tu peux ouvrir sans souci un projet créé sur la Force dans une MPC sous MPC 3. Les programmes, les pistes, les automations sont conservés. Seuls les clips ne sont pas importés – car le mode clip, lui, a disparu des MPC.

Inversement, ouvrir un projet MPC 3 sur la Force n’est pas encore possible. Il faudra attendre une prochaine mise à jour (probablement la 3.4) pour que cette compatibilité fonctionne dans les deux sens.

Ce que ça veut dire pour toi

Cette nouvelle compatibilité ouvre la voie à un workflow plus fluide : tu peux par exemple commencer un projet sur la Force, travailler les arrangements, puis poursuivre le mix ou le live sur une MPC. Un projet = deux machines = un seul fichier. Plus besoin de refaire ton set ou de jongler avec les exports/imports compliqués.

Dans mon cas, j’ai testé cette fluidité avec une instru construite sur Force (avec des clips) que j’ai ensuite ouverte sur une MPC X. Résultat ? Tout s’est chargé, à l’exception des clips – normal – mais j’ai pu retrouver les sons, les séquences, et même relire mon arrangement.

Et ce n’est pas une astuce obscure. C’est juste la logique d’un OS commun.

Télécharge mon expansion gratuite

Pour que tu puisses tester par toi-même, j’ai créé une expansion gratuite nommée Hybrid Drums, compatible MPC et Force. Elle contient trois kits (trap, drill, boom bap), pré-mixés pour un workflow direct.

→ Télécharge Hybrid Drums gratuitement sur mon site

Vers un futur plus ouvert ?

Akai nous montre ici une direction claire : unifier les outils, mutualiser les développements, ouvrir les workflows. Et ça, en tant que créatif, c’est une très bonne nouvelle.

On n’est plus à l’époque des MPC 1000. Aujourd’hui, on bosse en standalone, on joue en live, on sample, on mixe – tout ça dans une seule machine.

Et demain ? Une Force 2 ? Une nouvelle génération de MPC ? Ce qui est sûr, c’est que le passage à MPC 3 n’est pas juste une mise à jour. C’est un changement de paradigme.

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Si ce genre de contenu t’aide à mieux comprendre ta machine et à aller plus loin dans ta musique, pense à t’abonner à ma chaîne. Et surtout, n’oublie pas : va au bout de tes rêves !

Si tu souhaites installer une expansion MPC achetée sur le MPC Store, je t’invite à regarder cette vidéo :

Mais si tu as téléchargé une expansion depuis un site tiers ou que tu disposes d’un backup (copie de sauvegarde) d’une expansion MPC sur une clé USB, une carte SD ou un SSD, voici la méthode simple et efficace pour l’installer sur ta MPC autonome (Key 37, Live 2, X, One…).

Pré-requis

• Une expansion MPC valide (dossier contenant des fichiers .xpm, .xpk, .wav, etc.)
• Un support de stockage : clé USB, SD Card, ou SSD externe
• Le support doit être formaté en exFAT

Étapes d’installation manuelle d’une expansion MPC (tiers ou backup)

1. 🔌 Insère ton support de stockage dans la MPC

Insère ta clé USB, carte SD ou SSD externe dans la MPC éteinte ou allumée (peu importe à ce stade). Assure-toi qu’il est bien formaté en exFAT, c’est le seul format lisible par la MPC.

2. 🔗 Connecte ton suport de stockage à ton ordinateur

– Directement via un port (USB, carte SD)de ton ordinateur. Tu verras le support apparaître comme un disque dur externe.

– Ou via la MPC en la connectant à ton ordinateur

• Branche ta MPC à ton ordinateur via USB.
• Allume la MPC et mets-la en mode « Controller ».
• Tu verras alors le support apparaître comme un disque externe sur ton ordi.

3. 📁 Crée un dossier “Expansions”

Sur le support de stockage (clé USB, SD, SSD), crée un dossier nommé exactement :

Expansions

Expansions

Ce dossier doit être à la racine du support (pas dans un autre dossier).

4. 📂 Colle l’expansion dans le bon dossier

Copie-colle le dossier de ton expansion (celui contenant les sons, programmes, etc.) dans le dossier “Expansions”.

Tu dois donc obtenir une arborescence comme ceci :

/Expansions/
    MonNomDExpansion/
        Programs/
        Samples/
        etc.

⚠️ Ne colle pas les fichiers directement dans « Expansions » sans leur propre dossier.

5. 🔄 Déconnecte proprement et repasse en standalone

• Éjecte proprement le support depuis ton ordinateur.
• Débranche le câble USB si besoin.
• Mets ta MPC en mode standalone.

6. 📚 Accède à l’expansion depuis la MPC

• Sur ta MPC, ouvre le Browser (Menu > Browser)
• Va dans l’onglet Expansions
• Tu devrais voir apparaître ton expansion
• Tu peux maintenant charger les kits, keygroups, ou projets inclus

❓ Et si ça ne s’affiche pas ?

Quelques vérifications utiles :

• Assure-toi que le nom du dossier ne contient pas de caractères spéciaux.
• Vérifie que le dossier contient bien des fichiers MPC lisibles (.xpm, .xpk, .wav, etc.).
• Essaie de renommer ou de restructurer les sous-dossiers si l’expansion n’apparaît pas correctement.

👋 En résumé

Téléchargée ailleurs ? Tu la mets manuellement dans un dossier “Expansions” sur ta clé ou ta SD. Tu démarres la MPC en standalone… et c’est prêt à être utilisé.

Lors du NAMM 2025, Native Instruments a annoncé l’extension de son programme Native Control Standard (NKS) Hardware Partner, intégrant plusieurs grandes marques de l’industrie musicale telles qu’Akai Professional, Novation, Nektar, Korg et M-Audio. Parmi ces collaborations, celle entre Akai Professional et Native Instruments a particulièrement retenu mon attention.

L’annonce promettait une intégration avancée de NKS sur les claviers MPK et un bundle incluant Komplete Select 15. En tant qu’utilisateur de matériel Akai, cette nouvelle était excitante, mais après avoir creusé le sujet, j’ai découvert une réalité bien moins enthousiasmante.

Une collaboration réelle pour les utilisateurs MPC

Avant d’aborder les MPK, il est important de souligner que cette collaboration a tout de même apporté un véritable plus aux utilisateurs MPC. En effet, les MPC Edition Play Series proposent cinq instruments combinant des presets de haute qualité, enrichissant ainsi l’expérience musicale des beatmakers sur MPC. Ces ajouts sont réellement intéressants et offrent un nouveau souffle aux utilisateurs de la plateforme Akai.

Mais pour les claviers MPK, l’histoire est bien différente.

Une intégration NKS sur MPK ? Pas vraiment…

Quand on analyse les faits, on se rend compte que les claviers MPK ne bénéficient pas d’une intégration complète de NKS, mais plutôt d’un simple mapping MIDI amélioré. Pour mieux comprendre, il faut diviser la gamme MPK en deux catégories :

1. MPK 200 et Mini MK3
   • Navigation entre les presets des plugins NKS.
   • Changement de slot de plugin.
   • Navigation entre les pages de paramètres.
   • 8 potards permettant de contrôler des paramètres assignés.
   Mais :
   • Aucun écran sur le MPK pour afficher les paramètres des plugins.
   • Aucun accès aux Smart Play Features de Komplete Kontrol.
   • Obligation d’ouvrir Komplete Kontrol sur l’ordinateur pour voir ce que l’on fait.
2. MPK Mini Plus et MPK Mini Play
   • Seulement 8 paramètres assignables aux knobs.
   Mais :
   • Pas de navigation entre les presets ou les slots de plugins.
   • Pas de changement de page de paramètres.
   • Obligé d’utiliser la souris pour naviguer dans les sons et plugins.

On est donc loin de ce que propose un véritable clavier NKS Ready, comme la gamme Komplete Kontrol de Native Instruments.

Un coup marketing autour de NKS ?

Avec cette annonce, Native Instruments et Akai ont mis en avant un argument commercial attractif : l’offre de Komplete Select 15 avec les MPK. Sur le papier, cela semble généreux :

• 11 instruments et effets.
• Une qualité sonore indéniable.

Mais en réalité :

• Komplete Select 15 est une version très limitée de la suite Komplete.
• Si l’on souhaite exploiter pleinement l’écosystème, il faut acheter Komplete Standard ou Ultimate.
• Et surtout, sans un véritable clavier NKS, l’expérience est frustrante.

Ayant déjà utilisé un clavier Komplete Kontrol, la différence est flagrante. Peut-être étais-je trop optimiste, mais j’avais espéré une intégration réelle de NKS sur MPK, et ce n’est clairement pas le cas.

Faut-il acheter un MPK Mini Plus ou MPK Mini Play pour NKS ?

Mon avis :

• Si tu veux une véritable intégration NKS, achète un Komplete Kontrol M32 ou S49.
• Si tu possèdes déjà un MPK 249, 261 ou un Mini MK3, l’intégration NKS peut dépanner.
• Si tu comptais acheter un MPK Mini Play ou MPK Mini Plus pour NKS, passe ton chemin.

Bien sûr, tu peux toujours mapper tout toi-même, mais à ce niveau-là, autant utiliser un autre clavier avec un bon mapping MIDI.

Conclusion

Cette collaboration entre Akai et Native Instruments n’est pas une arnaque, car elle apporte une véritable valeur aux utilisateurs MPC. Cependant, pour les utilisateurs de MPK qui s’attendaient à une intégration complète de NKS, la déception est bien présente.

J’y ai cru, et j’ai été déçu.

Et toi ? As-tu testé cette intégration ? Qu’en penses-tu ? Partage ton avis en commentaire !

L’univers des MPC Akai est en pleine ébullition : Akai vient d’annoncer officiellement l’arrivée du MPC 3 Software ! Après des mois d’attente et d’incertitude, la marque a partagé des détails concrets sur cette nouvelle version, et les améliorations à venir sont prometteuses.

Dans cet article, nous allons passer en revue les annonces officielles, les nouvelles fonctionnalités à venir et l’impact potentiel de cette mise à jour pour les producteurs et beatmakers.

🎛️ Pourquoi attendre le MPC 3 Software ?

Le MPC 3 Software est essentiel pour tous ceux qui souhaitent tirer pleinement parti de leur MPC en intégrant les avantages d’un environnement logiciel desktop. Jusqu’à présent, MPC 3 OS a été déployé sur les MPC en mode standalone, mais sans sa version desktop, ce qui posait des problèmes de compatibilité.

La sortie confirmée de MPC 3 Software en mai 2025 devrait enfin résoudre ces problèmes et offrir aux producteurs une expérience fluide entre matériel et logiciel.

🚧 Rappel du problème de compatibilité

Depuis la sortie de MPC 3 OS, les utilisateurs ont rencontré une difficulté majeure :

• Les projets créés sous MPC 3 OS ne sont pas compatibles avec MPC 2 Software.
• Impossible d’ouvrir des projets récents sur le logiciel desktop actuel.

Ce souci impactait fortement les producteurs travaillant en hybride hardware/desktop. Avec MPC 3 Software, cette compatibilité devrait enfin être rétablie.

🚀 Les annonces officielles d’Akai

Voici les principales annonces faites par Akai concernant les prochaines mises à jour :

✅ MPC3 OS (Standalone) : Mise à jour prévue au printemps 2025 avec :

• Signatures rythmiques flexibles : enfin plus de possibilités pour les compositeurs.
• Transfert sans fil des extensions : simplification du workflow.
• Amélioration de l’enregistrement et de la lecture MIDI : meilleure gestion des périphériques externes.

✅ MPC OS 3.4.2 : Une mise à jour ce mois-ci qui apportera :

• Corrections de bugs rapportés par les utilisateurs.
• Optimisations pour une performance améliorée en mode standalone.

✅ MPC3 Desktop Software : Une bêta publique en mai 2025 🎉

• Ce sera la première fois que les utilisateurs auront accès à la version desktop tant attendue.
• L’occasion de tester et d’identifier les éventuels ajustements nécessaires.

✅ MPK Controllers :

• Intégration Native Instruments NKS.
• Komplete 15 Select offert (édition Akai Pro) pour les utilisateurs.

✅ Akai Force :

• Bêta privée ce mois-ci avec intégration des fonctionnalités MPC.

💡 Ce que cette mise à jour va changer

Avec l’arrivée de MPC 3 Software, les utilisateurs pourront enfin :

• Travailler leurs projets sur MPC 3 OS et les retrouver sur MPC 3 Software.
• Profiter de nouvelles fonctionnalités MIDI avancées pour les setups complexes.
• Simplifier le transfert de leurs extensions via le réseau sans fil.
• Exploiter de nouveaux plugins et instruments grâce à l’intégration Native Instruments.

Cette annonce marque une étape importante dans l’évolution de la gamme MPC et devrait permettre aux producteurs d’optimiser leur workflow et de gagner en flexibilité.

🖥️ Compatibilité et exigences système

Akai n’a pas encore donné tous les détails techniques, mais voici ce que l’on sait :

• Compatibilité avec toutes les MPC récentes (MPC One, Live II, X, Key 61).
• Optimisation pour macOS (y compris Apple Silicon) et Windows.
• Les anciens modèles comme la MPC Renaissance et la MPC Studio pourraient être en fin de support.

⚠️ Points d’attention avant de basculer vers MPC 3

Si vous utilisez actuellement MPC 2 Software et que vous avez installé MPC 3 OS sur votre MPC autonome, il faut rester vigilant :

• Les projets créés sous MPC 3 OS ne sont pas rétrocompatibles avec MPC 2 Software.
• La transition vers MPC 3 Software pourrait nécessiter quelques ajustements.
• La version bêta de mai sera cruciale pour tester la stabilité avant une sortie officielle.

Pour les plus prudents, Akai propose toujours un rollback vers MPC 2 en attendant la version stable.

🎯 Conclusion : Un tournant pour les utilisateurs de MPC

La sortie confirmée de MPC 3 Software marque un tournant dans l’écosystème Akai. Avec des fonctionnalités attendues depuis longtemps, une compatibilité améliorée et une collaboration stratégique avec Native Instruments, ce logiciel promet de moderniser et de simplifier la production musicale.

👉 Rendez-vous en mai pour la bêta publique et restez connectés pour découvrir ensemble les nouvelles possibilités de cette version.

💬 Que pensez-vous de ces annonces ? Allez-vous tester MPC 3 Software en mai ? Dites-le-moi en commentaire !

Le rap français ne cesse d’évoluer, porté par des beatmakers talentueux qui façonnent les sonorités de demain. Que ce soit dans la trap, la drill ou l’afrobeat, ces producteurs sont derrière les plus grands hits du moment. Découvrez les beatmakers les plus influents en 2024, ceux qui collaborent avec les plus grands artistes et imposent leur empreinte dans l’industrie musicale.

1. Tarik Azzouz

• Collaborations internationales : a produit pour des artistes tels que DJ Khaled, Lil Wayne et Meek Mill.
• Reconnaissance : a remporté un Grammy Award en 2020 pour sa contribution au titre « Higher » de DJ Khaled.
• Projets récents : a produit l’intégralité de l’album LSDC d’Alkpote en 2023 et a sorti son propre album Chaque jour en janvier 2025, avec des collaborations notables.

2. Ghost Killer Track

• Succès notable : a produit le hit « Popopop » de Gambi, accumulant plus de 100 millions de vues sur YouTube.
• Collaborations internationales : a travaillé avec des artistes britanniques tels que D-Block Europe et AJ Tracey.
• Projets récents : a sorti son premier album solo Time Will Tell en avril 2024, réunissant diverses collaborations prestigieuses.

3. Ikaz Boi

• Style distinctif : connu pour ses productions mêlant trap et électro, créant des ambiances avant-gardistes.
• Collaborations : a travaillé avec des artistes tels que Damso, Laylow et Hamza.
• Projets récents : a sorti plusieurs « producer albums », mettant en avant son talent et sa diversité musicale.

4. Flem

• Productivité : a produit un nombre impressionnant de titres pour divers artistes du rap français.
• Collaborations : a travaillé avec des artistes tels que Ninho, Koba LaD et Maes.
• Reconnaissance : considéré comme l’un des beatmakers les plus influents de la scène actuelle.

5. Boumidjal

• Style : reconnu pour ses productions percutantes et son adaptation aux tendances actuelles du rap.
• Collaborations : a travaillé avec des artistes tels que PLK, Zola et Niska.
• Projets récents : a contribué à plusieurs albums à succès en 2023, consolidant sa place parmi les beatmakers en vogue.

6. Junior À La Prod

• Polyvalence : capable de s’adapter à divers genres musicaux, du rap à la pop urbaine.
• Collaborations : a produit pour des artistes tels que PLK, 13 Block et Maes.
• Projets récents : a été particulièrement prolifique en 2020, travaillant sur 45 titres avec une dizaine d’artistes.

7. Binks Beatz

• Spécialité : reconnu pour ses productions dans le style drill, apportant une touche mélancolique et dramatique.
• Collaborations : a travaillé avec 1PLIKÉ140, contribuant à sa montée en popularité.
• Projets récents : a assuré la production de l’EP « 1PLIKTOI », mettant en avant son talent pour la drill classique.

8. HRNN

• Émergence : jeune beatmaker toulousain ayant gagné en notoriété grâce à des collaborations marquantes.
• Collaborations : a produit pour des artistes tels que Hornet La Frappe, Leto et RK.
• Projets récents : a contribué à l’album « MILS 3 » de Ninho, l’un des albums les plus vendus en France en 2020.

9. Hood Star

• Style : connu pour ses productions énergiques et sa capacité à créer des hits.
• Collaborations : a travaillé avec des artistes tels que Ninho et Uzi.
• Projets récents : a été le principal beatmaker de l’album « Destin » de Ninho, contribuant à plusieurs titres à succès.

10. Amine Farsi

• Polyvalence : capable de produire des morceaux pour divers genres, du rap à la pop urbaine.
• Collaborations : a travaillé avec des artistes tels que Da Uzi et RK.
• Projets récents : a signé un contrat avec Universal Music Publishing en 2019, renforçant sa présence dans l’industrie musicale.

Ces beatmakers jouent un rôle crucial dans l’évolution et le dynamisme de la scène rap française actuelle, apportant chacun leur touche unique et contribuant à façonner le paysage musical contemporain.

Le beatmaker est un élément clé du rap. Il est responsable de la création instrumentale, définissant l’ambiance et le rythme des morceaux. Si les rappeurs occupent souvent le devant de la scène, les producteurs de l’ombre sont tout aussi essentiels dans l’évolution du hip-hop.

En France, de nombreux beatmakers ont marqué l’histoire du rap, en façonnant des sons iconiques qui ont influencé des générations entières. Des pionniers du boom-bap aux maîtres de la trap et de la drill, ces producteurs ont su évoluer avec les tendances, imposant leur patte sur des morceaux devenus cultes.

Certains, comme DJ Mehdi et Cut Killer, ont posé les bases du rap français, tandis que d’autres, comme Skread et Therapy, ont contribué à moderniser le genre. Aujourd’hui, des beatmakers comme Ikaz Boi, Tarik Azzouz ou Binks Beatz façonnent l’avenir du rap en collaborant avec les plus grands artistes français et internationaux.

Cette sélection met en lumière les producteurs les plus influents du rap français, ceux qui ont su s’imposer et redéfinir les sonorités du hip-hop au fil des décennies.

1. DJ Mehdi

• L’un des pionniers du beatmaking français.
• A produit pour 113, Booba, Rocé, La Mafia K’1 Fry.
• Reconnu à l’international avec le label Ed Banger Records.

2. Cut Killer

• DJ et beatmaker emblématique du hip-hop français des années 90.
• Connu pour la scène culte du film La Haine.
• A travaillé avec NTM, Oxmo Puccino, Rohff.

3. Animalsons

• Duo ayant marqué les années 2000 avec des productions pour Rohff, Booba, Rim’K.
• A produit des classiques comme J’rappe mieux que toi et Zone Interdite.

4. Skread

• Architecte du son d’Orelsan, producteur de La Fête est Finie et Le Chant des Sirènes.
• A aussi travaillé avec Diam’s, Booba, Nessbeal.
• Style moderne entre boom-bap, électro et trap.

5. Kore

• Producteur influent de la scène rap et afro-trap.
• A collaboré avec Lacrim, Jul, SCH, Ninho.
• À l’origine du projet « Raï’n’B Fever », qui a mélangé rap et raï.

6. Therapy (2031 & 2093)

• A introduit la trap en France avec Or Noir de Kaaris.
• A produit pour Booba, SCH, Lacrim, Rohff.
• Style sombre et agressif, très influent sur la drill actuelle.

7. Tarik Azzouz

• L’un des rares beatmakers français à percer aux États-Unis.
• A produit pour DJ Khaled, Lil Wayne, Meek Mill.
• A aussi collaboré avec Sofiane, Tiakola, Gazo.

8. Ikaz Boi

• Beatmaker influent de la nouvelle vague.
• A produit pour Damso, Laylow, Hamza et même Future aux États-Unis.
• Style avant-gardiste, mêlant trap et électro.

9. Pone

• Membre de La Fonky Family, pionnier du son marseillais.
• A produit des classiques comme Sans Rémission.
• A travaillé avec Akhenaton, Rohff, Shurik’n.

10. DJ Pone

• Membre de Birdy Nam Nam, technicien du scratch et du beatmaking.
• A collaboré avec NTM, Fabe, Orelsan.
• A contribué au renouveau du rap alternatif français.

11. Hologram Lo

• Beatmaker attitré de 1995 et L’Entourage.
• A travaillé avec Alpha Wann, Nekfeu, Jazzy Bazz.
• Son boom-bap moderne influencé par le jazz et la soul.

12. Binks Beatz

• Très actif dans la drill française, producteur attitré de Gazo.
• A collaboré avec Kaaris, Freeze Corleone, Ninho.
• Style brut et énergique, influencé par la scène UK.

Mentions honorables :

• Binks Beatz : très actif dans la drill, notamment avec Gazo.
• Pyroman : a produit pour des têtes d’affiche actuelles comme Ninho.
• Hologram Lo : beatmaker attitré de 1995 et L’Entourage.
• Animalsons : a bossé avec Booba, Rohff, Rim’K.

Bolo Da Producer est un fervent défenseur du hardware dans la production musicale, et il ne manque pas d’arguments pour expliquer pourquoi il préfère ce mode de création. Dans une de ses récentes vidéos, il revient sur son attachement aux machines standalone comme les MPC et défend leur pertinence face aux logiciels modernes.

Pour Bolo, le hardware représente bien plus qu’un simple outil de production : c’est une expérience, une connexion directe avec la musique. Il souligne que, contrairement aux DAW sur ordinateur, les MPC et autres groove boxes offrent une approche plus tactile et immersive. Ce contact physique avec l’instrument permettrait, selon lui, de mieux ressentir la musique et d’être moins distrait par les écrans et les mises à jour logicielles constantes.

Un autre point central de son discours est la nostalgie. Bolo insiste sur le fait que produire sur une MPC lui rappelle ses débuts en musique, une époque où l’accès au matériel professionnel était un rêve difficilement atteignable. Aujourd’hui, avec des machines plus accessibles et performantes, il retrouve cette sensation unique qu’il avait lorsqu’il produisait pour la première fois sur un MPC 2000XL. Il compare cette nostalgie à d’autres aspects de la vie, comme le fait de vouloir préserver son apparence ou ses souvenirs d’une époque révolue.

Mais au-delà du sentiment nostalgique, il met aussi en avant des arguments plus techniques. Il explique que les machines standalone, bien que plus limitées que les logiciels modernes, offrent une stabilité et une fiabilité que les DAW ne peuvent égaler. Selon lui, un MPC ou un synthétiseur hardware peut fonctionner pendant des décennies sans problème majeur, contrairement aux ordinateurs qui nécessitent des mises à jour fréquentes et peuvent être sujets aux crashs et incompatibilités logicielles.

Enfin, Bolo Da Producer reconnaît que le workflow hybride, combinant hardware et DAW, est une solution idéale pour beaucoup de producteurs modernes. Il apprécie la possibilité d’enregistrer ses sons sur MPC et de les peaufiner ensuite sur un logiciel comme Ableton ou Pro Tools. Cependant, il reste convaincu que la production purement hardware apporte une satisfaction unique que l’on ne retrouve pas entièrement avec une approche 100 % numérique.

Avec cette vision, Bolo Da Producer s’inscrit dans une tendance de plus en plus populaire : le retour aux racines de la production musicale, non pas par rejet du numérique, mais pour retrouver une approche plus intuitive et organique. Son discours résonne particulièrement auprès des producteurs ayant connu l’âge d’or du hardware, mais aussi auprès des jeunes beatmakers curieux de découvrir une autre façon de créer.

Une Intégration Attendue : NKS Débarque sur les Claviers MPK

C’est officiel ! Akai Professional et Native Instruments viennent de franchir un cap majeur en intégrant la technologie NKS (Native Kontrol Standard) aux claviers MPK Mini MK3, MPK Mini Play, MPK Mini Plus, MPK 249 et MPK 261. Cette annonce change radicalement la donne pour les producteurs qui utilisent les claviers MPK d’Akai, en leur offrant une intégration totale avec l’écosystème Native Instruments.

Si tu possèdes déjà un MPK, bonne nouvelle : cette mise à jour est rétroactive ! Il te suffit de te connecter à ton compte e-Music, de récupérer ton Voucher, et d’obtenir une réduction de 99 € pour profiter de cette évolution sans te ruiner.

NKS sur MPK : Ce Que Ça Change pour les Producteurs

L’intégration du NKS aux claviers MPK apporte trois changements majeurs qui vont considérablement améliorer ton workflow :

1. Accès Immédiat aux Sons Native Instruments

Fini les longues configurations manuelles ! Tous les claviers MPK concernés bénéficient désormais d’un accès direct aux banques de sons de Native Instruments :

• Kontakt
• Massive
• Monark
• Battery

Tout est prêt à jouer immédiatement, sans galère d’installation.

2. Un Workflow Ultra-Fluidifié

Grâce au NKS, ton MPK est désormais reconnu nativement par Komplete Kontrol, avec une intégration complète des VST et des paramètres pré-mappés. Résultat ? Plus besoin d’assignations manuelles ! Tu peux te concentrer sur la musique et gagner un temps précieux en production.

3. Une Alternative aux Claviers Komplete Kontrol

Avec cette mise à jour, les MPK deviennent de véritables alternatives aux Komplete Kontrol S-Series. Tu profites ainsi de toute la puissance de l’écosystème Native Instruments sans avoir besoin de changer de clavier.

La Stratégie Derrière Cette Alliance Akai x Native

Cette intégration fait partie d’une stratégie plus large de Native Instruments visant à unifier le hardware et le software. Ce partenariat avec Akai, Novation, Nektar, Korg et M-Audio vise à rendre l’écosystème NKS incontournable.

Native Instruments cherche ainsi à attirer encore plus de producteurs vers son Komplete 15 Select en facilitant l’accès à ses logiciels via du matériel déjà bien implanté dans la communauté beatmaking.

Avancée Majeure ou Piège Marketing ?

Alors, cette annonce est-elle une révolution pour les producteurs ou une stratégie pour enfermer encore plus d’utilisateurs dans l’écosystème Native Instruments ?

✅ Si tu utilises déjà Komplete, cette mise à jour est une excellente nouvelle : tu bénéficies d’une meilleure compatibilité et d’un workflow optimisé sans avoir à changer de matériel.

✅ Si tu débutes, c’est une opportunité incroyable d’accéder à un écosystème puissant sans te ruiner. Un MPK combiné à Komplete Select te permet d’avoir un setup professionnel à moindre coût.

⚠️ Si tu tiens à ton indépendance, attention : Native Instruments continue d’étendre son influence et, une fois dans son écosystème, il est difficile d’en sortir.

Ton Avis Nous Intéresse !

Que penses-tu de cette évolution ? Bonne nouvelle pour les producteurs ou tentative de verrouillage de Native Instruments ? Laisse-nous ton avis en commentaire et partage ton expérience avec les claviers MPK et Komplete Kontrol !

Et comme toujours, n’oublie pas de t’abonner, liker et aller au bout de tes rêves ! 🚀

Introduction

Avec l’arrivée de MPC3 OS, de nombreux producteurs et beatmakers se demandent comment migrer leurs anciens projets MPC2 OS vers cette nouvelle version. Cette transition implique des changements majeurs dans l’architecture des projets, notamment l’unification des pistes et des programmes dans un même conteneur.

Si vous avez des projets créés sous MPC2 Software, voici un guide détaillé pour réussir leur importation dans MPC3 OS tout en évitant les erreurs courantes.

Pourquoi faut-il anticiper l’importation ?

Les projets MPC2 OS ne se chargent pas exactement de la même manière dans MPC3 OS. Certaines informations, comme les noms des programmes ou l’état du mute des pistes, peuvent ne pas être conservées.

Avant d’importer un projet MPC2 dans MPC3, pensez à :
✅ Sauvegarder une copie de votre projet MPC2 avant toute modification.
✅ Vérifier la structure de votre projet sous MPC2 Software pour comparer après import.
✅ Anticiper les ajustements nécessaires pour adapter votre workflow à MPC3 OS.

Les 5 points essentiels pour une importation réussie

1. Sélection des séquences à importer

Lorsque vous chargez un projet MPC2 dans MPC3, l’interface propose deux options :

• Importer toutes les séquences du projet.
• Sélectionner uniquement certaines séquences à importer.

💡 Conseil : Si vous souhaitez une transition complète, optez pour l’importation de toutes les séquences.

2. Unification des pistes et des programmes

L’un des changements majeurs dans MPC3 OS est l’unification des tracks et des programmes dans un seul conteneur. Cela entraîne plusieurs conséquences :

• Lorsqu’on charge un programme, le nom du track devient automatiquement le nom du programme.
• Cependant, lors de l’importation d’un projet MPC2, c’est le nom du track défini dans MPC2 qui est repris, et non celui du programme.

📌 Point à retenir :
➡️ Le nom du programme défini dans MPC2 n’est pas conservé dans MPC3.
➡️ Il faut donc bien se référer aux noms des tracks dans MPC2 Software pour ne pas perdre de repères.

3. Gestion des tracks assignés à un même programme

Si plusieurs tracks sont assignés au même programme sous MPC2 OS, MPC3 va créer une structure spécifique :

• Une piste principale sera générée pour le programme partagé.
• Les autres tracks utilisant ce programme seront convertis en pistes MIDI, avec un champ SendTo pointant vers la piste principale.

Exemple :
Dans MPC2, nous avons :
🎹 PadTrackName → Plugin : TubeSynth
🎹 Pad2TrackName → Même plugin : TubeSynth

Dans MPC3, cela donnera :

• Une piste plugin nommée PadTrackName, contenant le plugin TubeSynth.
• Une piste MIDI nommée Pad2TrackName, envoyant le signal MIDI vers la première piste.

🎯 Ce qu’il faut retenir : Vérifiez les pistes liées aux mêmes programmes et assurez-vous qu’elles sont correctement assignées après import.

4. Problème des états de mute des tracks

Si vous avez utilisé la fonction TrackMute dans MPC2 OS pour couper certaines pistes, sachez que ces informations ne sont pas transférées automatiquement vers MPC3 OS.

🔍 Vérification à faire après importation :
✅ Ouvrez votre projet dans MPC2 Software et identifiez les pistes mutées.
✅ Réappliquez manuellement ces réglages dans MPC3 OS pour éviter des surprises lors de la lecture.

Exemple concret :
Dans MPC2, Track5 et Track6 sont mutés dans la séquence Verse. Après import dans MPC3, ces pistes ne sont plus mutées. Il faut donc les re-muter manuellement.

5. Conversion de la structure Song pour l’Arrangeur

MPC3 OS conserve la structure globale des songs lors de l’importation. Cependant, pour pouvoir l’éditer avec la nouvelle fonctionnalité Arrangeur de MPC3, il faut convertir la song en une séquence unique.

📌 Comment faire ?

1. Allez dans Menu > Song
2. Vérifiez que la structure des séquences est bien respectée.
3. Cliquez sur Convert Sec pour générer une nouvelle séquence contenant toute la song.
4. Une fois convertie, utilisez l’Arrangeur MPC3 pour modifier la structure.

Conclusion

Importer un projet MPC2 OS dans MPC3 OS demande quelques ajustements, mais en respectant ces 5 étapes essentielles, vous pouvez réussir la transition sans perte d’informations importantes.

Récapitulatif des points clés :
✅ Vérifiez vos séquences avant l’importation.
✅ Soyez attentif à la nouvelle gestion des pistes et des programmes.
✅ Adaptez les tracks MIDI si plusieurs utilisent le même programme.
✅ Re-mutez manuellement les pistes si nécessaire.
✅ Convertissez votre song en séquence pour utiliser l’Arrangeur MPC3.

📝 Mon conseil : Utilisez toujours MPC2 Software pour comparer et ajuster vos projets après importation.

💬 Avez-vous rencontré d’autres problèmes lors de l’importation de vos projets MPC2 vers MPC3 ? Partagez votre expérience dans les commentaires !

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🚀 Va au bout de tes rêves !

La sortie de MPC 3 a marqué un tournant dans l’univers des producteurs et beatmakers. Avec la collaboration entre Native Instruments et Akai Pro, de nombreuses évolutions ont vu le jour, notamment l’intégration d’outils d’intelligence artificielle.

Mais l’IA est-elle réellement présente dans la MPC ? Et surtout, est-elle une véritable révolution pour le beatmaking ou juste un gadget marketing ? Plongeons ensemble dans cette question brûlante !

L’intelligence artificielle et la production musicale : Où en est-on ?

L’IA bouleverse déjà de nombreux secteurs, et la musique n’échappe pas à cette transformation. Parmi les avancées récentes, on retrouve :

✅ Génération de voix artificielles : des logiciels comme RVC Project permettent de transformer une voix en une autre, ouvrant des possibilités infinies pour le remix et le sampling.
✅ Séparation des stems : extraire les pistes d’un morceau (voix, batterie, basse, instruments) est devenu un jeu d’enfant grâce à des outils basés sur des modèles de deep learning.

Dans ce contexte, il est légitime de se demander : Akai a-t-il intégré l’IA dans sa nouvelle MPC ?

MPC Stems : Une IA intégrée pour le sampling ?

L’une des innovations majeures des dernières mises à jour de la MPC est le plugin MPC Stems. Cette technologie permet de séparer un sample audio en plusieurs couches distinctes :

🎤 Voix
🎸 Basse
🥁 Batterie
🎹 Autres éléments mélodiques

Lancé en mars 2024, ce plugin a d’abord été disponible en mode contrôleur avant d’être intégré en standalone avec la mise à jour du firmware 2.15.

👉 Mais repose-t-il vraiment sur une technologie IA ?

Zplane Stems Pro : L’IA cachée derrière MPC Stems

En creusant dans la documentation officielle d’Akai, on découvre que MPC Stems utilise en réalité Zplane Stems Pro (pour le mode logiciel) et Zplane Efficient (pour le standalone).

🔥 Zplane Stems Pro :
➡️ Un modèle avancé de deep learning, entraîné sur des milliers de morceaux pour une séparation ultra-précise.
➡️ Utilisé principalement sur les logiciels nécessitant plus de puissance de calcul.

🔥 Zplane Efficient :
➡️ Une version optimisée pour un usage standalone.
➡️ Qualité légèrement réduite, pour une exécution rapide sur MPC 3 OS.

👉 Verdict ? Oui, MPC Stems repose bien sur des modèles d’intelligence artificielle avancés !

Pourquoi Akai ne communique-t-il pas ouvertement sur l’IA ?

Contrairement à iZotope, Serato ou Virtual DJ, qui mettent en avant l’IA dans leur marketing, Akai reste discret sur l’utilisation de ces algorithmes.

🎯 Stratégie ou prudence ?

L’IA est un sujet sensible dans le monde de la production musicale. De nombreux beatmakers sont attachés à des méthodes traditionnelles et pourraient voir l’IA comme une menace à leur créativité.

Akai semble donc avoir choisi une approche plus subtile, privilégiant l’efficacité du produit sans entrer dans un débat technologique.

👉 Mais est-ce la bonne stratégie ?

Quel impact pour les beatmakers ?

L’arrivée de l’IA dans la MPC change la donne en matière de sampling et de production :

✅ Gagner du temps : Fini les heures passées à extraire une voix manuellement.
✅ Expérimenter de nouveaux sons : Transformer un sample en remix devient instantané.
✅ Faciliter le workflow : Un processus fluide pour découper et manipuler des stems en quelques secondes.

Mais certains puristes s’inquiètent :
❌ L’IA peut-elle tuer la créativité en automatisant trop de tâches ?
❌ Quelle place pour le sampling traditionnel si tout est fait en un clic ?

Conclusion : L’IA, un outil ou une menace ?

L’intégration de Zplane Stems Pro dans la MPC est une avancée indéniable. Que l’on soit pour ou contre, une chose est sûre : l’IA va continuer à transformer la production musicale.

La vraie question est comment nous, beatmakers, allons l’utiliser.

👉 Et toi, que penses-tu de l’IA dans la MPC ? Gadget ou révolution ? Dis-moi en commentaire !

Introduction

Si vous utilisez une MPC d’Akai, vous avez sûrement entendu parler des expansions MPC. Ces packs de sons spécialement conçus pour les MPC permettent d’enrichir vos productions avec des banques de sons de haute qualité, couvrant une large gamme de styles musicaux. Mais comment bien les choisir et les utiliser ? Ce guide ultime vous dévoile tout ce que vous devez savoir sur les expansions MPC et comment elles peuvent révolutionner votre workflow.

Qu’est-ce qu’une Expansion MPC ?

Une expansion MPC est un pack de sons au format compatible avec les appareils MPC d’Akai, qu’il s’agisse des modèles standalone comme la MPC Live, MPC X, MPC One ou du logiciel MPC Software. Ces packs contiennent généralement :

• Des kits de batterie (kick, snare, hi-hat, percussions…)
• Des boucles (loops) prêtes à l’emploi
• Des instruments multisamplés (basses, pianos, synthés…)
• Des effets et textures sonores
• Des patterns MIDI pré-programmés

L’objectif est de vous fournir des sons professionnels directement exploitables dans vos productions sans passer des heures à designer vos propres samples.

Pourquoi utiliser une Expansion MPC ?

1. Gagner du temps en production

Avec une expansion MPC, vous accédez immédiatement à une bibliothèque de sons prêts à l’emploi, sans devoir chercher ou créer vos propres échantillons.

2. Améliorer la qualité de vos beats

Les expansions sont conçues par des sound designers professionnels et offrent une qualité sonore exceptionnelle. Cela permet d’obtenir un son plus riche et plus professionnel dans vos productions.

3. Explorer de nouveaux styles musicaux

Certaines expansions sont spécialisées dans des genres précis comme la trap, drill, boom bap, house, afrobeat ou encore l’electronic music. Elles permettent ainsi de diversifier votre style et d’expérimenter de nouvelles sonorités.

4. Intégration fluide avec les MPC

Les expansions MPC sont directement intégrées dans le MPC Software et reconnues par les MPC autonomes. Cela facilite le workflow et évite les soucis de compatibilité.

Les meilleures Expansions MPC à essayer

Voici une sélection des meilleures expansions MPC pour différents styles musicaux :

🔥 Pour la Trap & la Drill

• Trap Soul : Des mélodies sombres et des 808 puissantes.
• Drill Expansion Pack : Parfait pour des beats drill avec des hi-hats rapides et des basses profondes.
• Urban Escapades : Mélange de textures modernes et de synthés atmosphériques.

🎤 Pour le Boom Bap & le Hip-Hop Old School

• Gold Dust : Des drums vintage et des samples soulful.
• Premier Beats : Inspiré du son new-yorkais classique.
• The Vault : Une sélection de kicks et snares ultra percutants.

🎧 Pour la House, l’Electro et la Techno

• Deep House Sessions : Idéal pour des grooves entraînants.
• Techno Transmission : Des basslines hypnotiques et des kicks puissants.
• Future Bounce : Parfait pour la house moderne.

🌍 Pour les Musiques du Monde & Afrobeat

• Afroheat : Des percussions africaines et des mélodies ensoleillées.
• Latin Percussions : Un must-have pour des rythmes latins authentiques.
• Reggaeton Heat : Idéal pour des beats reggaeton percutants.

Où télécharger des Expansions MPC ?

Vous pouvez trouver des expansions MPC sur plusieurs plateformes :

• Akai Pro Store : La source officielle avec des expansions certifiées.
• Splice : Un abonnement pour télécharger des samples et expansions.
• Loopmasters, ADSR Sounds, Producer Loops : D’autres marketplaces proposant des packs compatibles MPC.
• French The Beatmaker (à venir) : Je travaille sur des expansions sur mesure pour les producteurs francophones !

Comment installer une Expansion MPC ?

Pour les MPC Standalone (MPC Live, MPC X, MPC One)

1. Téléchargez votre expansion depuis le site d’achat.
2. Copiez les fichiers sur une carte SD ou un disque USB.
3. Insérez la carte/disque dans votre MPC.
4. Dans le browser de votre MPC, naviguez jusqu’au dossier et chargez les sons.

Pour MPC Software (Windows/Mac)

1. Installez l’expansion via l’installeur fourni.
2. Ouvrez MPC Software et allez dans Expansions.
3. Chargez votre nouvelle expansion et commencez à créer !

Conclusion

Les expansions MPC sont un excellent moyen d’améliorer votre workflow, d’accéder à des sons de qualité professionnelle et de diversifier votre production musicale. Que vous soyez beatmaker débutant ou producteur confirmé, elles vous feront gagner un temps précieux et enrichiront vos compositions.

Si vous cherchez des expansions MPC sur-mesure adaptées aux besoins des producteurs francophones, restez connecté ! Des packs exclusifs arriveront bientôt sur French The Beatmaker 🎵🔥

N’hésitez pas à partager cet article et à laisser un commentaire sur vos expansions préférées !